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Happy Quinqua en « party » parisienne

Soirée chez G. L’appartement est incroyable, le casting transgénérationnel, le buffet princier, le champagne à flot. Quelques créatures de rêve rient un peu fort et parmi elles, les hommes cherchent leur proie. Une dentiste iranienne dans la mauvaise partie de la quarantaine, raconte ses années burqa, elle se rattrappe en faisant virevolter une robe faite de peu de tissus. Elle est déchaînée et embrasse à pleine bouche un grand tunisien, jeune et beau dont quelqu’un me dit qu’il est un bon amant. Je remarque un petit pansement carré collé sur son épaule et lui demande avec une naïveté de provinciale : “Un patch pour arrêter de fumer ?” elle me répond : “Non, mes hormones”. Vu l’état d’excitation dans lequel elle se trouvait au moment où je quittais les lieux, à sa place, je l’enlèverai.

Happy Quinqua, c'est moi !

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