Se répandre, se tenir, ralentir

La part de voix de notre ego sur l’internet revêt mille représentations, Facebook se substitue au psy, Twitter est le baromètre de nos émotions et Linkedin sur lequel nous nous valorisons les uns les autres nous rappelle régulièrement à son bon souvenir. Tout ce mal qu’on se donne pour être aimés, pour être lus, achetés, ou vendus, ou pour séduire, ou alors juste pour exister. Continuer la lecture de Se répandre, se tenir, ralentir

Happy Quinqua est sur Facebook

Refuser d’être sur FB avant 40 ans relève d’une posture, d’un contre pied charmant et positionnant, parce que justement tout le monde est sur facebook avant 40 ans. Mais affirmer haut et fort que vous n’y êtes pas après 50 ans consiste à donner une précision pas indispensable sur la génération à laquelle vous appartenez. C’est comme connaître Nicolas Peyrac, Mike Brand ou les paroles de Vanina (Dave) par cœur. Continuer la lecture de Happy Quinqua est sur Facebook

Lettre à ceux qui ne votent pas

Si vous voulez plomber un dîner et vous attirer les foudres unanimes de TOUS dites “Moi je ne vote pas”. Les conversations vont alors s’arrêter, les regards vont se diriger (enfin) vers vous, puis un rictus va se poser sur l’ensemble des visages. L’ambiance a brutalement basculé quand, après un silence, une voix calme mais ferme balance : “Tu plaisantes là j’espère”. Continuer la lecture de Lettre à ceux qui ne votent pas

Happy Quinqua ne répond de rien

En ce week-end Pascal, pourquoi tout simplement ne pas se mettre entre-parenthèse, en indisponibilité momentanée, en detox mentale et physique ? Paris s’est vidé des familles avec enfants mais s’est rempli de touristes, de provinciaux, de célibataires en garde alternée et de Happy Quinqua en mode poisson pilote. Continuer la lecture de Happy Quinqua ne répond de rien