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Happy Q sous X (demain j’enlève les bas)

Ah la là ! qu’il est inconfortable de lancer comme ça des promesses à la cantonnade en ayant la vague conscience de son incompétence !!

Je vous avais bien promis une séquence érotique de mon cru, une novelita bien léchée, bien ficelée, bien emballée. A priori, la combinaison de l’expérience et de l’imagination, débridée par l’audace de ma quintitude en marche n’aurait pas dû me prendre plus de 30 minutes max douche comprise.

Mais voilà, les choses ne se sont pas passées comme prévu et je dois me rendre à l’évidence : je sèche.

Je m’étais pourtant bien dit qu’il ne devait pas être très compliqué de recycler en les mixant les deux trois anecdotes issues de mon passé ou de celui de mes vieilles copines (certaines, après 2 ou 3 verres de Mainetou Salon ont le souvenir créatif). J’avais même prévu de vous servir une recette de ma composition avec du miel, du thé, des piments oiseaux et plein d’adjectifs thermo dilatatoires.

Queue nenni !

Voilà que j’envoie dans l’âtre le 5 ième brouillon froissé.

Que faire ?

J’ai trouvé !

C’est faire faire. Ben oui faire faire par d’autres, par vous par exemple.

Donc pour répondre à ma promesse ratée par une pirouette réussie, j’appelle à l’aide.  Oyez oyez mes amis, mes lecteurs, plumes insoupçonnées, talents cachés, vous les uns, les autres. Vous qui avez des envies et qui n’avez encore jamais osé vous répandre, et bien je vous offre ma tribune libre pour vous exprimer. Envoyez-moi votre petite anecdote érotique (HappyQsousX@gmail.com ), elle paraîtra dans la rubrique HAPPY Q SOUS X inaugurée aujourd’hui.

Si j’ose cette demande, c’est parce que je sais qu’il y a des candidat(e)s. Allez au boulot les mots, on se lâche ! (en plus, c’est anonyme).

A et G, vous m’avez promis, vous ne pouvez plus reculer. Nous vous attendons.

Happy Quinqua, c'est moi !

12 Comments

  • A78

    Pour le moins que l’on puisse écrire, c’est une véritable pirouette réussie.

    Ma chère Happy Q ne serait ce le décalage horaire ou la distance qui te sépare de tes fidèles lecteurs qui t’empêche de nous écrire cette séquence érotique.

    Je suis convaincu que tu réussiras cette prouesse si tes amis, A et G par exemple, commençaient à rédiger une scène torride

    Bien à toi

    A78

  • MUSE

    Ouh ouh… Beau morceau de bravoure, bravo!!! Remettre a demain (deux) ce que l’on peut faire avec une seule!!! Tiens ca peut etre une idée de départ, l’érotisme se conjugue aussi au singulier. Mais tu ne nous aura pas, tu ne vas pas t’en sortir aussi aisément il n’y a pas de parlement pour te sauver la mise, la P.M.A ne sera pas ta S.M.Assistée.

      • MUSE

        Ca va viendre…dois-je lire du cru ou de ton cru? si c’est moi cent pour cent dans mes meilleurs jours, hors méthode Ogino, donc sans filet cela va etre du high voltage garanti ,no fiction que du vécu. Les gadgets? Des capots de bagnoles, des sièges arrières de Dauphines, et plus récemment le Copa cabana palace à Rio (v’la la gueule du gadget, le grand écart) et oui!!! dans un sens cela sert plutot d’ascenseur social, tiens les ascenseurs!!! Il se fait que j’adorais les vetements de filles, les parfums de filles. Tout. Tant que la fille était belle. Et je les aime encore. Go!!!

  • MUSE

    Dans les années sinistres, en banlieue, y ‘avait une p’tite bande qui s’éclatait malgré tout. C’était avant tout le truc compliqué, quoi? Je ne vous fais pas de dessin, pas de bigo portable, pas de sms, pas de carte blues, rien qui ne t’accroche juste le Rock and Roll. Y’avait aussi un p’tit mec cool dans c’te clique, un peu bien èlevé un peu dans les livres tout le contraire des autres, mais il pissait dans son froc plus souvent qu’a son tour avec ces Zouaves? Il les aimait. Il avait une copine du nom de Marylou pas celle d’Edith piaf, celle à lui, celle qu’on lui piquait pas. Son pote Manu, lui, il avait une Dauphine à défaut d’une gonzesse, et tous les samedis après la fete à Neuneu le p’tit mec cool emmenait Marylou dans la caisse, et là, ils s’attrapaient, se léchaient de partout et se découvraient toutes les fois un peu plus. Leurs baisers étaient passionnés. Un soir énervés, pleine balle quoi, Marylou lui demande, aime moi comme un garcon!!! Tu déconnes lui dit p’tit mec, tu es sure, oui, aime moi comme un garcon, répond t-elle. Bon en tous cas se sera plus facile sur le siege arrière pense t-il. Eh oui quand on est fils d’ouvrier on a l’esprit pratique. Avec la vague conscience de son incompétence (???) il a éxécuté un numéro de sauvage, il la tenait par les cheveux lui le p’tit mec un peu bien élevé!!! Marylou n’a jamais criée autant que cette fois là, ca l’a exité, il a joui a la fin de son orgasme. Il s’en rappelle encore p’tit mec de ces petits seins durs comme de la pierre, de son petit cul dur comme de la pierre, et lui aux anges se retenant parce que putain, là c’était bien. Y’ avait meme des mecs qui mataient malgré la buée sur les vitres, mais p’tit mec il s’en foutait, il avait la vie au bout des doigts, au bout du sexe, et bordel, là, il n’y avait plus que Marylou et le Prince.

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