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Où en est-on de sa lingerie ?

Il a celle que l’on porte et celle que l’on a.
Habituellement, le  tiroir à lingerie est à l’image du dressing et des caprices. Il est composé à 90% d’ensembles coordonnés en dentelle délicate, satin de soie, imprimés ravissants, mais à l’inconfort garanti. Ces sous-vêtements ont souvent été achetés de façon impulsive de notre plein gré mais n’ont pas vocation à être portés, en tout cas pas la journée.

Cette accumulation doit beaucoup à l’état amoureux et aux soldes. Les fashionistas amoureuses savent de quoi je parle.

Les dix pour cent restant se portent … mais ne se montrent pas.

Et je ne vous parle même pas du slip & soutien-gorge coordonnée qu’il est difficile de garder intacts et ensemble. Un souci renforcé par les lessives qui, au fil du temps, modifient la couleur de l’un, mais pas de l’autre.

Bref pourquoi est-il si difficile d’allier le confort au sexy ? Prenons le slip par exemple, quelle est la Happy Quinqua qui porte encore le string ?
Franchement ne trouvez-vous pas terriblement inconfortable ce truc qui nous rentre dans le Happy Q ? Bon, ok en certaines circonstances mieux vaudra toujours le string que rien du tout (quoique la sensation du rien est intéressante) et nous en mesurons toute l’utilité pour la danse, le pantalon de lin blanc ou le fourreau très moulant … Même si l’idée de départ est justement d’éviter les marques sous le vêtement, avouez que l’intérêt du string n’est jamais d’être porté, il est surtout d’être vu, voire aperçu, mieux, imaginé.

Je donne rarement dans le post exclusivement féminin, car la plupart des problématiques des quinquas sont mixtes. Je garde cependant en mémoire la vision cet été au bord de la piscine du maillot string D & G de Dada en pensant que du haut de son Happy S il pouvait encore se le permettre, le bougre. Je n’avais pas mon phone sous la main pour immortaliser le bon angle qui m’aurait permis d’illustrer ce billet, et vous prouver à quel point je dis vrai. Dommage !

 

L’image en haut de page est une photo de photo de Ed van der Elsken prise lors de cette expo qui se tient en ce moment au jeu de Paume et que je vous encourage vivement à aller voir. Post écrit en écoutant une musique spéciale dimanche soir (mais pas seulement), il s’agit d’un album qui vient d’être réédité et qui s’appelle Eulogy for Evolution de Olarfur Arnals

 

 

 

 

 

 

 

 

Happy Quinqua, c'est moi !

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