Happy Quinqua joggue au Luxembourg

Ce matin au Luxembourg, au moment où je double deux coureurs d’une foulée molle, je capte cette petite phrase émanant de l’un des deux : “Il a fallu que je me parraine moi-même pour qu’on me rembourse ma deuxième batterie.” J’adore ces délices auditives (oui je sais « auditives » ça fait bizarre mais Délice tout comme Orgue ou Amour, passent au féminin quand ils sont au pluriel). Quand ils se croisent, les sportifs solitaires s’échangent un regard à chaque tour. A la condition de courir à contre sens. Le Luco, c’est comme la Grande Ep’ entre 20H et 21H, un foyer de célibataires, en forme et plutôt aisés, et qui souvent, entendent le rester (aisés, en forme et célibataires).

Une réflexion au sujet de « Happy Quinqua joggue au Luxembourg »

  1. Ah… vous n’avez pas réussi à récupérer la Lamborghini et ses chevaux fougueux? Contrainte de courir alors… Et au milieu des ruches du Luxembourg! C’est pour le moins audacieux pour une jolie fleur. L’atout majeur de la Lamborghini, c’est son rétroviseur qui permet l’échange de regards sans contre-sens… mais pas sans ambiguité. Qui regarde-t-on? Le bolide ou le pilote?

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